Prêts à plonger dans l’inconnu de 2020
Chers tous,
Prêts à plonger dans l’inconnu de 2020 ? Prêts pour de nouveaux défis, de nouvelles rencontres, de nouvelles joies ?
Prêts pour 4 nouvelles saisons ? Prêts pour les orages, la pluie, le gel mais aussi le soleil à gogo ?
Moi, je suis prête. Je sais que je serai avec vous, cette simple pensée m’émeut, vous m’apportez tant, faisant face à vos vies qui ne vous font pas de cadeaux… Je vous assure, 2020 sera belle, je vous le souhaite de tout mon cœur.
A n’en pas douter elle nous réserve bonnes surprises et galères… Peu importe, nous sommes forts et combattants. Nos sentiments nous trahissent, nos émotions nous jouent des tours, peu importe, nous sommes vivants.
Continuez à être fragile, à avoir des failles, c’est pour cela que vous êtes passionnants, ça ne doit jamais vous arrêter. Vous trouverez ici mon article sur l’importance de transgresser.
Je vous embrasse et doux et beau voyage en 2020.
Mes cadeaux clin d'oeil
Un blog que j’aime : eveensonjolijardin.com
Faites-moi plaisir : faites-vous plaisir et aller vous promener sur ce blog, c’est drôle, sensible, très doux, très fille, plein d’autodérision.
Ce n’est qu’un avant-goût, Eve est rentrée d’expatriation et nous prépare un nouveau blog, je vous en parle dans quelques mois, ce sera encore mieux, j’ai hâte !
Deux livres à lire absolument :
- Né d’aucune femme de Franck Bouysse : la détresse d’un père, une jeune fille sans défense, le calcul et la manipulation jusqu’à l’impensable, l’instinct de survie, l’amour, la résilience.
- La chambre de l’araignée de Mohammed Abdelnabi : l’homosexualité en Egypte, que de chemin à parcourir encore pour atteindre la tolérance, la reconnaissance de ces hommes et femmes aussi normaux que vous et moi. Quel beau roman !
Un poème d’amour pour que 2020 soit espoir et tendresse
Je t’aime parce-que je t’aime et voilà tout
et de t’aimer j’en arrive à ne pas t’aimer
et de t’attendre alors je ne t’attends plus
mon cœur peut en passer du froid à la brûlure
Je ne t’aime que parce-que c’est toi que j’aime,
et je te hais sans fin, te hais et te supplie,
et la mesure de mon amour voyageur
est de ne pas te voir, de t’aimer en aveugle.
Et si, la lumière de janvier, tu consumais
ton rayon cruel, et mon cœur tout entier
me dérobant la clef de la tranquillité ?
En cette histoire je n’arrive qu’à mourir
Et si je meurs d’amour, c’est parce-que je t’aime,
Parce-qu’amour je t’aime, et à feu et à sang.
Pablo Neruda – Extrait de son recueil de poèmes « La centaine d’amour »
0 commentaires