Il y a 4 ans, jour pour jour, A., A. et H. débarquaient au bureau pour me foutre à la porte.

Un choc, la peur de l’avenir avec mes 2 enfants…

Puis se relever, combattre pour défendre au mieux ses droits.

Et reconstruire sans savoir si c’est la bonne direction, suivre son instinct pour aller là où j’avais envie d’aller depuis si longtemps, toujours je crois…

Aujourd’hui je sais qu’il ne pouvait rien m’arriver de mieux, mais il me reste un goût amer d’avoir été entraînée par A. vers une mort annoncée…

Et je ne peux m’empêcher de penser à tous ces gens que l’entreprise maltraite… Tous ces gens qui n’ont pas mes ressources, ni financières, ni créatives, ni intellectuelles, ni culottées…